Ce billet de blog de LVLUP.fr met en lumière les impacts négatifs des heures supplémentaires sur la productivité et la culture d'entreprise. En valorisant le présentéisme, les entreprises sabotent leur propre performance, perdent des talents et s'exposent à des risques juridiques. Les données montrent que les heures supplémentaires réduisent la productivité, augmentent les coûts liés au présentéisme et au turnover, et peuvent entraîner des problèmes de santé mentale. L'auteur souligne l'importance de privilégier l'efficacité et la qualité de vie au travail (QVCT) pour attirer et retenir les meilleurs talents.
L'article de LVLUP.fr explore pourquoi le management par le contrôle est obsolète et comment Netflix a révolutionné cette approche. En abolissant les politiques de congés et de notes de frais, Netflix a libéré la motivation intrinsèque de ses employés, générant des revenus cinq fois supérieurs à la moyenne du secteur. Basé sur la Théorie de l'Autodétermination, ce modèle repose sur trois piliers : l'autonomie, la compétence et l'appartenance sociale. En traitant les employés comme des adultes responsables et en leur donnant la voix sur les décisions, Netflix a créé une culture d'entreprise performante et innovante.
L'article explore la théorie des deux facteurs de Frederick Herzberg pour motiver les salariés. Il distingue les facteurs d'hygiène (éviter l'insatisfaction : salaire, conditions de travail) des facteurs moteurs (générer la satisfaction : accomplissement, reconnaissance, autonomie). Herzberg identifie quatre profils d'employés selon leur niveau de satisfaction et d'engagement. L'objectif est de combiner de bonnes conditions de travail et un travail épanouissant pour maximiser la motivation et l'engagement des équipes.
Les entreprises ne se soucient ni de la productivité ni du management moderne, seulement du contrôle et des cours boursiers. Malgré les preuves accumulées (bureaux ouverts nuisibles, télétravail bénéfique pour le sommeil et les coûts, etc.), les dirigeants ignorent les théories managériales éprouvées (comme celles de Deming) au profit de la surveillance et de l’autoritarisme. Même si les outils d’IA générative promettent des gains de productivité, leur variabilité et leurs coûts cachés (verrouillage, impact environnemental, risques politiques) en font un pari dangereux, surtout couplés à des licenciements. Pire, leur adoption reflète souvent une logique de bulle spéculative, où les avertissements rationnels sont ignorés — comme avant l’éclatement de la bulle immobilière de 2008. En réalité, ces outils, en augmentant la variabilité des tâches, risquent de paralyser les organisations en surchargeant les processus et en réduisant la capacité réelle de travail. Résultat : une course à l’abîme, où seuls comptent le contrôle et l’illusion de l’innovation, au mépris de l’efficacité et du bien-être. Une analyse systémique révèle leur toxicité, mais personne n’écoute : ceux qui en ont les moyens fuient déjà la bulle, les autres subissent.
L'auteur imagine comment a été décidé l'ajout d'écran de veille Oqee sur la Freebox... et c'est triste.
Tout est dans le titre
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L'auteur explique que les deadlines ne fonctionnent pas, même en tenant compte de la loi de Parkinson :
- Le temps nécessaire pour faire quelque chose ne dépend généralement pas de la pression que l'on met à l'exécutant.
- Les deadlines favorisent la vision court termiste, plutôt que l'amélioration continue et consistante.
- Les deadlines ne permettent pas l'adaptation, si on en rate une, c'est trop tard pour faire quelque chose d'utile.
L'auteur suggère aux managers deux actions :
- Un contrôle quotidien, ou point de préemption (via le daily meeting) afin de vérifier qu'on ne s'écarte pas trop de la ligne que l'on s'est fixée et de s'adapter le cas échéant.
- Être impitoyable sur la priorisation des tâches - l'approche FIFO n'étant pas la bonne (Note: voir la matrice d'Eisenhower ?)
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Un retour d'expérience sur Rancher, un outil de management de clusters, utile en cas de déploiement d'une application sur plusieurs plateformes de cloud
Un article très éclairant sur la nécessité de communiquer clairement sur les difficultés que l'on peut rencontrer - l'exemple de la "petite modification" qui dégénère en semaines de travail est très parlant
Tout est dans le titre
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Quelques clefs pour bien manager une équipe