Quotidien Shaarli
Aujourd'hui - October 11, 2025
L’article explique de manière claire et pédagogique ce que sont les modes musicaux et comment les utiliser pour colorer une composition. Un mode est une gamme dont on change le point de départ : à partir d’une gamme majeure (comme Do majeur), on obtient 7 modes en commençant par chacune de ses notes (ex. : Ré dorien, Mi phrygien, etc.). Les modes sont classés en majeurs (ionien, lydien, mixolydien) et mineurs (dorien, phrygien, aeolien, locrien), chacun ayant une « couleur » sonore distinctive. Par exemple, le lydien (4e mode) apporte une touche féerique grâce à sa quarte augmentée, tandis que le phrygien (3e mode) est sombre et souvent utilisé en métal. L’article détaille la construction de chaque mode, leurs notes caractéristiques et des exemples concrets (comme le thème de Yoda en lydien ou Wherever I May Roam de Metallica en phrygien). Une ressource idéale pour comprendre comment les modes enrichissent l’émotion et l’ambiance d’un morceau, avec des comparaisons visuelles et auditives pour faciliter l’apprentissage. Un PDF et une vidéo sont proposés en téléchargement pour approfondir.
L’article présente une solution simple et efficace pour surveiller un homelab sans complexité. L’auteur, lassé des outils lourds comme Centreon ou Zabbix, propose un duo gagnant : Uptime Kuma pour vérifier la disponibilité des services web (via des pings réguliers et des alertes) et Bezsel pour surveiller l’état matériel et logiciel des serveurs (CPU, RAM, disques, etc.). Les deux outils se déploient facilement via Docker Compose, offrant une interface claire et des notifications en cas de problème. L’objectif ? Une supervision légère, rapide à mettre en place, idéale pour les labos personnels. Un partage utile pour ceux qui veulent éviter les "usines à gaz" tout en gardant un œil sur leur infrastructure.
L’auteur partage une réflexion personnelle sur l’impact psychologique et social des IA conversationnelles comme ChatGPT, après avoir utilisé l’outil comme confident lors d’une soirée difficile. Il souligne comment ces technologies, conçues pour aider, deviennent pour certains des substituts relationnels, offrant une écoute et une validation inconditionnelles, mais exacerbant paradoxalement la solitude et la dépendance émotionnelle, surtout chez les personnes fragiles ou les adolescents. L’article évoque des cas documentés de troubles mentaux aggravés par ces interactions, ainsi que le risque de désapprentissage des compétences sociales essentielles (gestion du conflit, tolérance à la frustration). L’auteur appelle à une prise de conscience collective, une éducation critique dès l’école, et une régulation plus stricte pour éviter que l’IA ne devienne un miroir toxique de nos vulnérabilités, tout en reconnaissant son potentiel. Une question centrale émerge : comment préserver notre humanité dans un monde où la perfection simulée des machines menace de remplacer l’imperfection enrichissante des relations humaines ?