Sean Goedecke s’inspire de Seeing Like a State de James C. Scott pour analyser la tension entre "legibility" (lisibilité) et "illegibility" (illisibilité) dans les grandes entreprises technologiques. Les organisations modernes cherchent à maximiser la lisibilité — rendre le travail mesurable, planifiable et traçable — via des outils comme les OKR ou Jira, même si cela réduit souvent l’efficacité réelle. Pourtant, elles dépendent aussi d’un travail illisible (faveurs, savoir tacite, relations informelles), essentiel mais impossible à formaliser. Cette dualité explique pourquoi les grandes entreprises, malgré leur bureaucratie, persistent à privilégier la lisibilité : elle permet la planification à long terme, la coordination avec de grands clients (comme les entreprises), et une apparence de contrôle, même au détriment de l’agilité et de la productivité individuelle. L’auteur illustre comment les zones d’illisibilité (équipes "tiger teams", canaux informels) coexistent avec les processus officiels, souvent de manière non sanctionnée mais indispensable. Une réflexion sur l’équilibre fragile entre structure et flexibilité, où la lisibilité sert surtout les intérêts stratégiques (contrats, scalabilité) plutôt que l’efficacité opérationnelle pure.
Scott H. Young partage son bilan d’un mois dédié à l’organisation et au rangement, après avoir lu cinq livres sur le sujet. Il en retire des principes clés : jeter avant de ranger, organiser par catégorie (et non par lieu), donner une place unique à chaque objet, et simplifier l’accès visuel aux affaires en évitant les contenants surchargés. Il souligne aussi que la plupart des papiers sont superflus et que le désencombrement passe par une phase de chaos avant d’aboutir à un espace plus fonctionnel et facile à maintenir. Malgré la difficulté du processus (notamment avec des enfants), il constate que ses espaces de vie et de travail sont désormais plus ordonnés et que l’effort d’entretien quotidien s’en trouve réduit. Une expérience qui l’incite à adopter une approche plus radicale face à l’accumulation d’objets inutiles.
L'auteur raconte son parcours à travers une multitude d’applications de todo (Notion, Todoist, Things 3, Trello, OmniFocus, etc.), qu’il a toutes abandonnées pour revenir à un simple fichier texte, todo.txt
. Après des années à perdre du temps à configurer et gérer des outils complexes, il a réalisé que la simplicité d’un fichier texte—accessible, instantané, intemporel et sans dépendance—lui permettait d’être bien plus productif. Son système repose sur une liste datée, mise à jour quotidiennement, où tâches, notes et résultats cohabitent, transformant son todo en un journal de bord. Sans fonctionnalités superflues, sans abonnement, et toujours disponible, cette méthode lui a prouvé qu’une solution basique, mais utilisée régulièrement, surpasse tous les outils sophistiqués. Une leçon : la productivité tient moins à l’outil qu’à l’action.
L'auteur présente brièvement ce qu'est la "screaming architecture" et ses avantages
L'article propose des stratégies pour rester productif même lorsqu'on manque de motivation, notamment en organisant sa semaine sur un calendrier papier pour visualiser les tâches à accomplir. Il est important de reconnaître que l'inspiration finira par venir et de commencer par les tâches les plus simples pour se mettre en mouvement. Décomposer les grandes tâches en étapes plus petites et gérables peut rendre les projets moins intimidants. L'idée est de se concentrer sur le démarrage plutôt que sur la finalisation d'un projet, car commencer permet souvent de trouver l'élan nécessaire pour continuer. Faire des tâches ménagères peut aussi aider à débloquer l'esprit et à retrouver de l'énergie pour les tâches professionnelles. En suivant ces conseils, même les journées les plus difficiles peuvent devenir des opportunités de progrès, une petite victoire à la fois.
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En résumé, il faut bien distinguer les activités "de maintenance" (laver la vaisselle, l'administratif, etc.) des activités inspirantes (buts dans la vie, choses à apprendre) - sachant que cette distinction n'est pas nécessairement rigide. Ensuite, essayer au mieux de prioriser en fonction du temps que l'on a
Rien à ajouter, c'est parfait
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L'auteur décrit une méthodologie (décrite dans le livre "Team topologies") pour répartir les équipes de développement en fonction de la complexité des domaines (au sens DDD), des relations entre domaines, etc. de manière à réguler la charge cognitive.
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