Tim Ferriss propose une alternative aux résolutions du Nouvel An : la "révision de l'année passée" (PYR). Cette méthode consiste à analyser son calendrier annuel pour identifier les personnes, activités et engagements ayant provoqué des émotions positives ou négatives. Ensuite, il s'agit de planifier davantage des activités positives et d'éviter celles négatives. Une méthode simple et efficace pour mieux orienter sa nouvelle année.
L'article explique comment l'apprentissage des adultes diffère de celui des enfants, en mettant l'accent sur la pertinence personnelle et l'autonomie. Il propose des techniques comme la compréhension des principes d'apprentissage adulte, la création d'un environnement propice, l'utilisation de la neuroplasticité, des méthodes d'étude efficaces, la gestion des émotions, le soin du corps et la transformation de l'apprentissage en habitude de vie. Un guide pratique pour optimiser votre capacité d'apprentissage.
Découvrez comment une "anti-to-do list" peut révolutionner votre productivité en vous concentrant sur ce que vous ne ferez pas plutôt que sur ce que vous devez accomplir. Cet article explore 7 façons dont cette approche peut transformer votre relation avec la productivité, en protégeant votre énergie, en fixant des limites claires et en créant de l'espace pour l'essentiel. Une méthode radicale pour lutter contre le surmenage et se recentrer sur ce qui compte vraiment.
Scott H Young explore la technique de productivité la plus sous-estimée, en se basant sur l'auto-évaluation et les priorités plutôt que sur les tâches. Il souligne que la plupart des conseils de productivité se concentrent sur la gestion des tâches, alors que les gens ont plus de difficultés avec les priorités. En se référant au livre "First Things First" de Stephen Covey, il explique que la productivité ne devrait pas être une obsession pour accomplir le plus de tâches possible, mais plutôt une quête pour se sentir satisfait de l'utilisation de son temps. La métaphore du compas et de l'horloge illustre cette idée : il est plus important de savoir si l'on va dans la bonne direction que de mesurer chaque minute de son temps.
Scott H Young partage ses stratégies pour lire un livre par semaine, même en lisant lentement. Il suggère d'avoir toujours un livre à portée de main, de diversifier les formats (livre papier, audio, e-book), de ne pas finir les livres qui ne vous intéressent plus, de supprimer les réseaux sociaux de son téléphone, de lire avant de dormir, de créer une "antilibrary" (une bibliothèque de livres non lus mais souhaités) et de concevoir des projets de lecture thématiques. Ces astuces permettent d'augmenter sa consommation de livres et d'améliorer ses connaissances et sa motivation.
Addy Osmani partage 21 leçons tirées de ses 14 années chez Google, axées sur les compétences humaines et organisationnelles plutôt que sur les technologies. Parmi ces leçons, il souligne l'importance de se concentrer sur les problèmes des utilisateurs, de collaborer plutôt que d'avoir toujours raison, de privilégier l'action et le partage rapide, de privilégier la clarté à la complexité, et de limiter l'innovation aux cas où elle est vraiment nécessaire. Ces conseils visent à aider les ingénieurs à naviguer efficacement dans leur carrière et leurs projets.
Steve Huynh explique dans cet article pourquoi il est crucial de ne pas confondre son emploi avec sa carrière. Il souligne que se concentrer uniquement sur les tâches quotidiennes (85% du temps) sans consacrer du temps à la stratégie (15%) peut freiner la croissance professionnelle. Il recommande de réallouer une partie de son temps pour travailler sur des projets à long terme, comme développer des compétences (Multiplicateurs), créer des opportunités (Optionnalité) ou planifier des paris audacieux (Big Bets). Cette approche permet de transformer son travail quotidien en croissance de carrière sans nécessairement augmenter sa charge de travail.
Un "someday shelf" est un espace dédié (physique, numérique ou mental) pour stocker des projets, idées et objectifs importants mais non urgents, libérant ainsi l'esprit de l'obligation d'agir immédiatement. Il se distingue d'une liste "maybe" (idées incertaines) et fonctionne avec une liste "someday" (projets futurs souhaités). Ce système, appelé procrastination productive, permet une meilleure gestion des priorités sans culpabilité ni épuisement. L'article met en garde contre cinq erreurs courantes : mélanger tâches urgentes et idées futures, ne jamais revoir la liste, confondre les deux listes, inclure des idées futures dans la to-do list quotidienne, et utiliser le "someday shelf" comme excuse pour ne jamais agir.
L'article de LifeDev.net explore les sept principaux avantages du minimalisme numérique, une approche consciente de l'utilisation de la technologie. Parmi ces bénéfices figurent la clarté mentale et la tranquillité émotionnelle, une concentration accrue et un travail en profondeur, des relations plus saines, une meilleure productivité, une santé physique et numérique améliorée, une créativité renforcée et une plus grande satisfaction de vie. Le minimalisme numérique aide à réduire le bruit numérique, à restaurer la concentration et à transformer les appareils numériques en outils favorisant le bien-être mental. L'article propose également des conseils pratiques pour commencer à pratiquer le minimalisme numérique.
L’article encourage à oser commencer « mal »—c’est-à-dire à se lancer sans attendre la perfection — pour déclencher une véritable transformation personnelle. Il souligne que la quête de la perfection paralyse souvent nos rêves, tandis que l’audace de débuter, malgré les imperfections, construit le courage, favorise l’authenticité et accélère l’apprentissage. Des exemples comme Thomas Edison ou Malala Yousafzai illustrent comment les débuts chaotiques mènent à des réussites exceptionnelles. L’article propose aussi des conseils pratiques : diviser les grands objectifs en petites étapes, accepter l’échec comme une source de feedback, et s’entourer de soutien. En somme, commencer « ugly » est un acte de bravoure qui libère la créativité et ouvre la voie à une croissance continue. Une lecture inspirante pour ceux qui hésitent à franchir le pas par peur de l’imperfection.
L’article explique comment adopter une philosophie stoïcienne pour mieux gérer le stress et les émotions au quotidien. Il propose sept étapes pratiques : comprendre que le bonheur dépend de notre interprétation des événements (et non des événements eux-mêmes), maîtriser ses émotions sans les réprimer, développer une discipline quotidienne, se concentrer uniquement sur ce qui est sous notre contrôle, pratiquer la réflexion quotidienne pour renforcer la conscience de soi, accepter l’inconfort comme une opportunité d’apprentissage, et cultiver la paix intérieure en adoptant une perspective plus large. Le stoïcisme moderne, inspiré par des penseurs comme Marc Aurèle et Épictète, encourage à transformer les obstacles en leçons et à privilégier l’action sur la réaction, pour vivre avec plus de résilience et de sérénité. Une approche accessible et applicable à tous les aspects de la vie, du travail aux relations personnelles.
Scott H Young explore dans cet article la notion de "good enough" (assez bien) appliquée aux fondations de la vie quotidienne (santé, relations, sommeil, etc.). Il souligne que pour ces aspects, la médiocrité évitée (atteindre un niveau suffisant) compte plus que la maîtrise absolue, car les bénéfices diminuent rapidement après un certain seuil. Par exemple, passer de zéro à 75 minutes d’exercice par semaine réduit significativement le risque de mortalité prématurée, tandis que doubler ce temps n’apporte qu’un gain marginal. L’auteur insiste sur l’importance de trouver un équilibre personnel, en tenant compte des coûts subjectifs (temps, énergie, sacrifices) et des bénéfices réels. Le défi réside dans le fait que les coûts perçus (comme l’effort pour faire du sport) diminuent avec la pratique régulière, rendant plus facile le maintien d’un niveau satisfaisant. Il invite à réfléchir : dans quels domaines atteignez-vous facilement un niveau "assez bien", et dans quels autres peinez-vous à atteindre même le minimum ? Une approche pragmatique pour optimiser son bien-être sans viser la perfection.
Scott H Young présente dans cet article son programme "Foundations", une formation d’un an visant à renforcer les "fondations" universelles d’une vie épanouie. Les fondations sont des pratiques essentielles (comme la forme physique, le sommeil, la productivité, l’alimentation ou les relations sociales) qui, bien que souvent négligées, influencent profondément la qualité de vie. Contrairement aux compétences spécialisées, ces fondations concernent tout le monde et nécessitent un travail délibéré, car notre environnement moderne ne les favorise pas naturellement. L’auteur explique que leur amélioration demande de la concentration et une intégration harmonieuse pour éviter qu’elles ne deviennent une liste de corvées. Le programme propose une approche structurée : commencer par une habitude clé, s’appuyer sur un curriculum ciblé et bénéficier d’un soutien communautaire. L’objectif est de transformer ces pratiques en un mode de vie durable, sans qu’elles ne pèsent comme un fardeau. Une réflexion intéressante sur l’importance de ces bases souvent invisibles, mais déterminantes.
L’article How to Assess Progress: Proven Methods to Track Personal and Professional Growth (2025 Guide) explique pourquoi et comment mesurer ses progrès, que ce soit dans la vie personnelle ou professionnelle. Il souligne que suivre ses avancées transforme les intentions floues en actions claires, maintient la motivation et permet d’ajuster ses stratégies en fonction des résultats observés. L’auteur propose quatre méthodes complémentaires : la mesure quantitative (indicateurs chiffrés et cibles précises), le suivi des jalons (découpage des objectifs en étapes observables), l’évaluation qualitative (retours d’expérience, journaux de bord, retrospectives) et la réflexion personnelle (revues régulières pour identifier les leviers d’amélioration). Pour faciliter ce suivi, il recommande des outils comme les objectifs SMART, les tableaux Kanban/Gantt, les KPI et les applications digitales (Asana, Trello, Jira, etc.), tout en intégrant les innovations 2025 comme l’IA pour analyser les données en temps réel, anticiper les obstacles et personnaliser les plans d’action. L’idée centrale : combiner rigueur, flexibilité et technologie pour rendre le progrès visible, motivant et aligné avec ses ambitions à long terme.
Scott H. Young partage 102 leçons tirées de 102 livres lus en un an, couvrant des thèmes variés comme la forme physique, la productivité, l’argent, l’alimentation, le sommeil, les relations et l’altruisme. Parmi les points marquants : l’exercice régulier réduit le risque de mort précoce de 40 % et améliore la santé mentale ; la productivité dépend davantage du bonheur et d’un sentiment de progression que du stress ; il est impossible de battre le marché boursier à long terme, et l’épargne automatique est la clé d’une retraite sereine ; les régimes alimentaires ne fonctionnent que si on les adopte à vie ; la solitude est aussi nocive que le tabac ; et donner à des associations efficaces peut sauver des vies pour quelques milliers de dollars. L’auteur insiste aussi sur l’importance de la qualité du sommeil, de la gestion des distractions et de la rationalité dans l’altruisme. Une synthèse riche et pratique, idéale pour qui cherche à optimiser sa vie quotidienne.
Ali Khil partage une habitude simple mais efficace pour préserver ses soirées en tant qu’ingénieur logiciel : au lieu de prolonger sa journée de travail en se disant « encore 20 minutes », il note les prochaines étapes à réaliser avant de partir. Cette pratique évite l’épuisement, permet de revenir le lendemain avec un esprit frais et une motivation intacte, tout en favorisant un meilleur équilibre entre vie professionnelle et personnelle. Une astuce inspirée par l’expérience, où l’envie de terminer une tâche sur le moment se transforme souvent en heures perdues et en frustration. À la clé, moins de surmenage et des idées nouvelles après une nuit de repos.
Scott H. Young clôt son année de projet Foundations avec un mois dédié au service, une thématique qui l’a amené à repenser sa philosophie de vie. Bien que ses actions concrètes (dons de sang, dons à des associations recommandées par GiveWell) aient été limitées par les contraintes logistiques du bénévolat, cette période a surtout marqué un changement d’attitude : passer d’une vision où la morale est une contrainte à une vie épanouie, à une approche où l’épanouissement personnel devient une contrainte secondaire au service des autres. Il réalise que, comme pour les autres fondations (fitness, alimentation, etc.), ce sont les changements d’état d’esprit plutôt que les habitudes qui durent. Ce mois lui a aussi permis de comprendre que le bonheur et la satisfaction peuvent émerger davantage d’une vie tournée vers l’impact positif que vers la recherche directe du bien-être. Une réflexion profonde sur l’altruisme et la construction d’une vie significative, avec l’espoir de s’engager davantage à l’avenir.
Scott H. Young partage une sélection de 10 livres sur l’altruisme et l’impact positif, lus dans le cadre de son projet annuel "Foundations" axé sur le service. Il en tire trois enseignements clés : donner rend plus heureux et en meilleure santé, nous pourrions donner bien plus (surtout face aux inégalités mondiales), et notre générosité pourrait être bien plus efficace. Parmi les ouvrages présentés, Doing Good Better (William MacAskill) plaide pour un altruisme rationnel, Give and Take (Adam Grant) montre que les "donneurs" réussissent souvent mieux à long terme, et What We Owe the Future (MacAskill) interroge notre responsabilité envers les générations futures. D’autres titres explorent la philosophie morale (Reasons and Persons de Derek Parfit), l’empathie (Against Empathie de Paul Bloom), ou la quête de sens (Man’s Search for Meaning de Viktor Frankl). Young souligne aussi les dilemmes persistants : comment équilibrer aide aux proches et aux inconnus, ou aux humains vs. animaux ? Une liste variée, mêlant analyses pratiques et réflexions profondes sur l’éthique et l’action.
Dans le cadre de son projet Foundations, l’auteur partage douze croyances qu’il a révisées après une année de recherches approfondies, combinant lecture intensive et mise en pratique. Il souligne d’abord que la valeur de la recherche réside moins dans la découverte de vérités évidentes (comme l’importance du sport ou du sommeil) que dans la capacité à trancher entre des théories plausibles ou à approfondir des sujets pour en faire une priorité durable. Parmi ses changements d’avis marquants : la primauté du cardio sur la musculation pour la santé, l’idée que la productivité découle davantage du bien-être que du stress, ou encore la risque accru des obligations par rapport aux actions sur le long terme. Il nuance aussi des idées reçues, comme la nocivité persistante des graisses saturées, la supériorité des livres papier pour la rétention, ou l’impact vital des liens sociaux sur la longévité. D’autres prises de position surprennent, comme l’efficacité des médicaments contre le TDAH (contrairement aux approches comportementales), les bienfaits d’un léger auto-illusionnement pour l’efficacité personnelle, ou l’avantage d’un désencombrement radical plutôt que progressif. Enfin, il remet en cause des dogmes comme la quête du sommeil parfait (source de contre-productivité) ou le rôle surévalué de l’empathie émotionnelle dans la morale, prônant plutôt la compassion et la raison. Ces ajustements, souvent contre-intuitifs, reflètent une approche pragmatique où la nuance l’emporte sur les certitudes, et où l’action compte autant que la connaissance.
Dans ce billet, l’auteur rappelle l’importance cruciale de la mesure dans l’amélioration continue, citant Lord Kelvin : « On ne peut pas améliorer ce que l’on ne mesure pas. » Il souligne que beaucoup d’équipes travaillent en « mode tunnel », se concentrant uniquement sur la réalisation des tâches sans évaluer leur impact réel. Inspiré par le Lean Startup, il insiste sur la boucle « Build - Measure - Learn » : construire, mesurer les résultats, puis apprendre pour ajuster la trajectoire. Sans données, on navigue à l’aveugle, en supposant que le travail apporte la valeur attendue, sans pouvoir capitaliser sur les erreurs ni progresser de manière quantifiable. L’intégration d’outils de mesure dès la conception et la définition d’indicateurs clairs permettent de remplacer l’intuition par des données concrètes, essentielles pour une amélioration continue efficace.
Un rappel utile pour tous ceux qui veulent transformer leur action en progrès mesurable !