Tout est dans le titre... et c'est génial !
L’article explique l’importance de bien taguer sa musique pour une collection organisée et cohérente, en s’appuyant sur MusicBrainz Picard, un outil open source qui automatise l’étiquetage en utilisant la base de données collaborative MusicBrainz. L’auteur illustre les défis posés par les variations de noms d’artistes, d’albums ou de genres (ex. : le groupe 7!! et ses multiples dénominations), et montre comment Picard permet de normaliser ces métadonnées. Après une présentation de l’interface et des zones clés (fichiers en vrac, regroupement par album, résultats de la base de données), il détaille le processus pas à pas : import des fichiers, regroupement, recherche automatique ou manuelle d’albums, ajustements (genres, pochettes) et sauvegarde. Des astuces avancées sont partagées, comme la gestion des versions alternatives d’albums, la configuration des langues préférées pour les noms d’artistes, ou le renommage automatique des fichiers. L’outil s’avère indispensable pour maintenir une bibliothèque musicale propre et exploitable, surtout pour les amateurs de playlists ou d’autohébergement (Nextcloud Music). Un guide pratique et complet pour optimiser la gestion de sa discothèque numérique. Lire l’article
L’article explique de manière claire et pédagogique ce que sont les modes musicaux et comment les utiliser pour colorer une composition. Un mode est une gamme dont on change le point de départ : à partir d’une gamme majeure (comme Do majeur), on obtient 7 modes en commençant par chacune de ses notes (ex. : Ré dorien, Mi phrygien, etc.). Les modes sont classés en majeurs (ionien, lydien, mixolydien) et mineurs (dorien, phrygien, aeolien, locrien), chacun ayant une « couleur » sonore distinctive. Par exemple, le lydien (4e mode) apporte une touche féerique grâce à sa quarte augmentée, tandis que le phrygien (3e mode) est sombre et souvent utilisé en métal. L’article détaille la construction de chaque mode, leurs notes caractéristiques et des exemples concrets (comme le thème de Yoda en lydien ou Wherever I May Roam de Metallica en phrygien). Une ressource idéale pour comprendre comment les modes enrichissent l’émotion et l’ambiance d’un morceau, avec des comparaisons visuelles et auditives pour faciliter l’apprentissage. Un PDF et une vidéo sont proposés en téléchargement pour approfondir.
L’article aborde la question de l’utilisation éthique des IA musicales en 2025, soulignant leur capacité à générer des morceaux ressemblant à des créations humaines, souvent à partir de données scrappées sur des plateformes comme YouTube ou Spotify, sans toujours obtenir le consentement des artistes. Cela pose des problèmes majeurs de droit d’auteur et de concurrence déloyale, les entreprises technologiques profitant économiquement de contenus créés par d’autres. Si certains utilisateurs y trouvent un outil pratique pour des besoins ponctuels (musique de fond, parodies humoristiques), les musiciens professionnels risquent d’être lésés, leur travail et leur valeur artistique étant dévalués par la production de masse. Cependant, des usages plus vertueux existent, comme la création de backing tracks pour s’entraîner, l’extraction de pistes audio pour faciliter les relevés, ou l’assistance à la composition, à condition de garder une dimension humaine centrale. La Sacem rappelle d’ailleurs que seule une œuvre incluant un apport créatif humain peut être protégée. L’enjeu reste la transparence et la régulation, afin d’éviter que ces technologies ne nuisent davantage aux artistes qu’elles ne les aident.
L’article explique où et comment se procurer de la musique pour alimenter un cloud musical autohébergé, en privilégiant les solutions qui soutiennent directement les artistes. L’auteur recommande Bandcamp pour son approche éthique et ses formats audio libres (FLAC), ainsi que Qobuz pour son catalogue varié, malgré des restrictions techniques. Il mentionne aussi les plateformes de musique libre comme Jamendo et Dogmazic, ainsi que l’achat de CD lors de concerts ou en occasion. En dernier recours, il évoque des solutions alternatives pour les musiques introuvables ailleurs. L’objectif est de minimiser les intermédiaires et de favoriser les artistes, tout en partageant des découvertes et des astuces pour enrichir sa bibliothèque musicale. Une liste de ressources et de plateformes complémentaires est également proposée pour aller plus loin.
Une liste de sites sur lesquels acheter de la musique en haute qualité
Cet article explique comment enrichir une mélodie comme « Ah vous dirais-je maman » (en Do Majeur) en partant des bases — accords I, IV, V pour une structure simple — puis en intégrant tous les accords de la tonalité pour plus de variété, avant d’utiliser les renversements pour fluidifier les enchaînements et enfin ajouter des accords de septième pour une harmonie plus riche ; chaque étape s’appuie sur l’écoute et l’expérimentation, avec des outils concrets pour passer d’une version minimaliste à une version sophistiquée, tout en rappelant que ces techniques servent à booster la créativité plutôt qu’à imposer des règles strictes. Une méthode progressive, idéale pour débuter ou approfondir l’art de l’harmonisation.
L'article explique les quatre grandes cadences en musique, qui structurent les phrases musicales comme la ponctuation le fait pour les phrases écrites. Les cadences sont des enchaînements d'accords à la fin d'un élément musical, produisant des effets conclusifs ou suspensifs. La cadence parfaite, par exemple, utilise les accords de degré V et I pour créer une sensation de conclusion, comme dans "Somebody to Love" de Queen. La cadence plagale, avec les accords IV et I, offre une conclusion moins définitive, souvent utilisée dans la musique liturgique. La demi-cadence repose sur le cinquième degré, créant une suspension, tandis que la cadence rompue surprend en déviant de l'accord attendu, comme dans "I Want to Break Free" de Queen. Ces outils permettent aux musiciens de s'exprimer et d'enrichir leurs compositions.
L'article explique ce qu'est l'accord médiant chromatique, comment le(s) trouver et à quoi ils servent. Il donne des exemples connus : cinéma, pop, etc.
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C'est très bien expliqué
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Une explication claire de ce que sont les triolets, et de la différence entre musique ternaire et rythme ternaire