Ce zine démystifie les permissions Unix de façon visuelle et accessible : chaque fichier a trois droits (lecture, écriture, exécution) pour trois catégories (utilisateur, groupe, autres), affichables via ls -l. Les permissions sont représentées en binaire (ex. rw- = 110 = 6), ce qui permet d’utiliser chmod 644 pour définir rapidement rw-r--r--. L’autrice explique aussi les bits spéciaux (setuid, setgid, sticky) et leurs effets, comme un exécutable qui s’exécute toujours en tant que root. Pour les dossiers, les droits changent de sens : r permet de lister, w de créer, et x d’y accéder.
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Résumé de l'article :
1°) Utiliser les ACL (getfacl pour récupérer les ACL avant l'opération, setfacl pour les restaurer après)
2°) Eviter les permissions en octal et préférer plutôt avec + ou -
3°) Mettre les modificateurs récursifs (par exemple) à la fin de la commande, histoire de la relire une dernière fois avant de l'exécuter
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