Dans ce premier épisode de sa série "Mon lab", l'auteur partage son projet de refonte complète de son infrastructure personnelle, héritée de son ancien PC étudiant transformé en NAS sous Debian. L'objectif est de passer d'une architecture centralisée et vulnérable à une infrastructure automatisée, reproductible et évolutive, inspirée par les principes de l'"infrastructure as code".
Il explore plusieurs outils pour automatiser l'installation du socle de ses serveurs (MaaS, Foreman, Cobbler, Clonezilla, etc.), mais opte finalement pour une solution basée sur PXE et Debian Netboot, en utilisant un fichier Preseed pour automatiser l'installation. Après avoir rencontré des difficultés avec la complexité et le manque de documentation claire de Preseed, il se tourne vers la création d'une image Debian Netboot personnalisée. Cette image, basée sur un mini-système avec debootstrap et squashfs, permet de déployer automatiquement une Debian configurée selon ses besoins, avec un script d'installation intégré.
L'article détaille les étapes de création de cette image, le choix de BTRFS pour le système de fichiers, et l'utilisation d'un script bash pour partitionner et installer le système. L'auteur souligne l'importance de la reproductibilité, de l'évolutivité et de la suppression des configurations fantômes, tout en gardant la porte ouverte à l'ajout futur d'hyperviseurs comme Proxmox. Une lecture technique et inspirante pour quiconque souhaite automatiser son lab perso !
L’auteur partage son expérience pour monter un home lab ultra-optimisé : deux mini-PC (un GMKtec 5825U avec Ryzen 7 5825U, 64 Go de RAM et un NVMe de 2 To récupéré d’une PS5 pour la virtualisation sous Proxmox, et un Intel N100 pour le firewall OPNsense avec ports SFP 10G), le tout pour moins de 700 €. Objectifs remplis : silence absolu, consommation électrique maîtrisée, et performances au rendez-vous (10 VM simultanées, Jellyfin en 4K, Home Assistant, Bitwarden, etc.). Le tout tient dans une étagère, avec une Freebox Delta en mode bridge pour du 10G, un NAS Qnap pour le stockage, et des switches 2.5G/10G. Un setup malin, évolutif et discret, parfait pour expérimenter (Kubernetes, NixOS…) sans exploser la facture d’électricité ni le budget ! 💡🔌
L’auteur raconte sa migration de services auto-hébergés depuis un VPS vers un mini-PC à domicile (un Minisforum UM880 Plus), en profitant de l’occasion pour mettre en place une infrastructure plus flexible et robuste avec Proxmox VE. L’objectif est de pouvoir expérimenter (notamment avec Kubernetes) sans risquer de casser sa production, tout en sécurisant ses données via le chiffrement disque et des sauvegardes solides. Après avoir installé Debian avec chiffrement LUKS, il automatise la configuration de Proxmox et du réseau (pont bridge) via Ansible, afin de pouvoir recréer rapidement son infrastructure en cas de vol ou de panne matérielle. Il prévoit d’utiliser OpenTofu et cloud-init pour déployer et configurer des machines virtuelles de manière reproductible, et Ansible pour gérer la configuration des services. Le billet détaille aussi les écueils rencontrés (comme le blocage au démarrage après l’installation de Proxmox, résolu en configurant une IP statique) et explique comment son playbook Ansible permet de tout réinstaller automatiquement. Une suite est annoncée pour aborder le déploiement de VM et la gestion des services avec Kubernetes.
L'article décrit la construction d'un homelab virtualisé utilisant un rack de 10 pouces. L'auteur, qui avait l'habitude de réutiliser de vieux ordinateurs pour héberger des services à domicile, a découvert les racks 10 pouces et a opté pour un DeskPi RackMate T0. Il a choisi deux mini-PC GMKtec NucBox G5 avec des processeurs Intel N97 pour virtualiser ses services avec XCP-ng, un hyperviseur basé sur Xen. Pour l'administration, il utilise Xen Orchestra, une application web dédiée. L'auteur recommande Alpine Linux pour les machines virtuelles en raison de sa légèreté et de sa simplicité. Il aborde également la gestion de la mémoire dans XCP-ng et exprime son enthousiasme pour de futures expérimentations avec son nouveau homelab.
L'auteur de l'article explique comment il a mis en place un serveur domestique accessible de n'importe où. Motivé par le désir de travailler à distance et de contrôler ses services, il a opté pour un mini PC reconditionné et a surmonté divers défis techniques, notamment des problèmes de réseau et de sécurité. En utilisant des outils comme Tailscale pour un accès sécurisé et Cloudflare Tunnels pour héberger ses services, il a réussi à créer un système flexible et sécurisé. Ce projet lui permet non seulement de gérer ses applications personnelles, mais aussi d'apprendre et d'expérimenter avec les technologies de serveur.
On découvre l'évolution du homelab de l'auteur, de l'utilisation d'un serveur dédié OVH à la création d'un setup organisé avec un rack 10 pouces. Ce parcours inclut l'intégration de Kubernetes, Talos, et diverses machines comme des Raspberry Pi et un Mac Mini, le tout géré efficacement pour héberger des applications quotidiennes.
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