L'article explore la méthode Spec-Driven Development (SDD), qui consiste à générer des spécifications détaillées en Markdown avant de coder, guidant ainsi les agents de codage. Bien que prometteuse pour structurer le développement avec l'IA, cette approche, inspirée du modèle Waterfall, présente des inconvénients majeurs : production excessive de texte, bureaucratie systématique, et sentiment de fausse sécurité. L'auteur suggère qu'une approche plus itérative et naturelle pourrait mieux convenir au développement moderne. Plusieurs outils comme Spec-Kit, Kiro, et Tessl sont mentionnés, mais leurs limites sont également discutées.
Mathieu Eveillard explique pourquoi les méthodologies séquentielles (comme le waterfall) échouent systématiquement dans l’informatique de gestion, notamment à cause de l’effet tunnel : développer pendant des mois sans feedback utilisateur mène souvent à des produits inadaptés ou inutiles. Les étapes rigides (cahier des charges, appel d’offres, développement, etc.) ignorent l’incertitude des besoins réels et les erreurs d’estimation, transformant les projets en jeux de roulette russe où le client finit captif de coûts imprévus. La solution ? L’Agilité : itérer par petites étapes, valider avec les utilisateurs, et construire la confiance progressivement, plutôt que de miser sur des documents figés et des engagements irréalistes. Une critique percutante des limites du waterfall et un plaidoyer pour des approches plus flexibles et collaboratives.
Tout est dans le titre
Un comparatif bien écrit et clair sur les avantages et inconvénients de chaque approche
Qu'est-ce qu'un waterfall ? Comment le décrypter ? Comment améliorer son waterfall ?
Une comparaison entre les méthodes agiles et la méthode du "cycle en V" (waterfall) et pourquoi les "sprints" agiles ne peuvent pas être considérés comme des "mini" cycles en V