Cet article compare les architectures standalone et haute disponibilité (HA) pour Kubernetes on-premise, en expliquant comment concevoir et opérer un cluster HA. L’article détaille l’importance de redonder les composants critiques (comme l’API Kubernetes) pour éviter les points de défaillance uniques (SPOF), même si cela peut introduire de nouveaux défis (ex. : un load balancer devant les control planes peut lui-même devenir un SPOF). Il présente aussi une solution de stockage HA avec TrueNAS (exposant des volumes bloc via iSCSI) et Longhorn pour orchestrer la réplication, les snapshots et la reconstruction automatique en cas de panne d’un nœud. L’auteur insiste sur la nécessité de bien dimensionner chaque couche (stockage, réseau, contrôle) pour garantir la résilience du cluster, tout en soulignant que la haute disponibilité commence par la redondance du plan de contrôle et une gestion fine des volumes persistants. Le billet s’inscrit dans une série technique explorant les bonnes pratiques pour opérer Kubernetes en production.
L'article explique comment étendre les fonctionnalités de Talos, un système d'exploitation minimaliste dédié au déploiement de nœuds Kubernetes. Bien que Talos soit léger, il est conçu pour être extensible via des extensions, permettant d'ajouter des outils ou des fonctionnalités non disponibles par défaut. L'auteur détaille les méthodes pour installer des extensions, soit via une image personnalisée de Talos, soit en spécifiant une image OCI contenant l'extension. Il illustre le processus avec un exemple concret d'installation de l'agent qemu-guest-agent
sur des nœuds Talos, en utilisant Proxmox pour l'hébergement. L'article aborde également la création et la gestion des extensions, ainsi que l'injection de configurations spécifiques pour des besoins particuliers
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