Face à la multiplication des robots d’indexation (notamment ceux des LLM), Bearstech propose plusieurs stratégies pour limiter leur impact : filtrage (via robots.txt, blacklist d’IP ou User-Agents, outils comme Darkvisitor ou Cloudflare), mitigation (rate-limiting avec HAProxy, tests inversés comme Anubis ou Cloudflare Turnstile), délégation (CDN avec WAF comme Cloudflare ou Bunny), et surtout optimisation (cache avec Varnish/Redis, tuning de base de données, tests de charge). Aucune solution n’est universelle : chaque approche a ses avantages (efficacité, simplicité) et inconvénients (maintenance, faux positifs, coût). L’idéal ? Combiner filtrage ciblé, cache agressif et optimisation pour rendre son infrastructure plus résiliente, tout en préservant le référencement et l’expérience utilisateur. Une analyse fine du trafic et des goulets d’étranglement reste indispensable. 🛡️🔍
L'article traite des préoccupations liées à la fouille de données sur le web par les intelligences artificielles, une pratique souvent perçue comme une forme de vol de données. Il explore les moyens pour les créateurs de contenu de protéger leurs œuvres, notamment à travers des procédures comme l'opt-out, qui permet de déclarer son refus de voir ses données utilisées pour enrichir les bases de données de l'IA. L'article aborde également des méthodes techniques pour bloquer les robots aspirateurs, comme l'utilisation de fichiers robots.txt et .htaccess, tout en soulignant l'importance de l'opt-out pour une protection juridique. Il conclut sur la nécessité pour les auteurs de se préparer à ces enjeux, tout en restant ouverts à une collaboration éventuelle avec l'IA.
L'auteur montre l'installation d'Anubis pour bloquer les robots des entreprises IA. Il utilise Traefik comme reverse proxy.
Tout est dans le titre
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Quelques astuces sur les fichiers .htaccess, robots.txt et humans.txt