Thibault Buze explique dans ce troisième volet de Sous le capot du cloud le choix de Proxmox VE comme hyperviseur pour leur cloud interne, après une analyse des besoins clés : haute disponibilité (HA), automatisation, interopérabilité et simplicité d’opération. Parmi les alternatives (vSphere, Hyper-V, OpenStack), Proxmox s’impose pour son approche ouverte (KVM/QEMU, LXC), native HA (migration à chaud, bascule automatique), flexible (stockage iSCSI/NFS/ZFS, intégration TrueNAS) et automatisable (API, Terraform, cloud-init). L’architecture repose sur 3 hôtes minimum, des réseaux dédiés (management, stockage, données) et une intégration fluide avec Kubernetes (via Longhorn). Le tout est industrialisé en Infrastructure as Code (Terraform), garantissant reproductibilité et traçabilité. Points clés : séparation des plans de trafic, sauvegardes testées (Proxmox Backup Server), et monitoring rigoureux. Une solution souveraine, économique et scalable, idéale pour des clusters hébergeant 500 à 2000 pods.
Une comparaison intéressante entre ces 2 hyperviseurs...
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L'article est ancien (2015), mais l'essentiel de la procédure ne devrait pas avoir changé. Je cite l'auteur : "Nous allons voir comment mettre en place un système de Virtualisation stable et performant sur un système Linux. Pour cela, nous allons utiliser l’hyperviseur Xen, géré par l’outil de management de virtualisation Ganeti (écrit par Google) et le tout managé par le gestionnaire de configuration Saltstack."
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Je cite "Nous allons voir comment mettre en place un système de Virtualisation stable et performant sur un système Linux. Pour cela, nous allons utiliser l’hyperviseur Xen, géré par l’outil de management de virtualisation Ganeti (écrit par Google) et le tout managé par le gestionnaire de configuration Saltstack."