Le protocole ARP — souvent invisible mais absolument essentiel — joue le rôle de “traducteur” entre les adresses IP (utilisées par les protocoles réseau) et les adresses MAC (adresses physiques des interfaces réseau). Dans cet article, IT-Connect explique comment ARP fonctionne dans un réseau local : requêtes, réponses, cache ARP, et montre pourquoi sans lui aucun paquet Ethernet ne pourrait atteindre sa destination. Vous y découvrirez aussi les commandes utiles pour gérer le cache, ainsi que les risques de sécurité liés à des attaques comme l’ARP-spoofing, et les bonnes pratiques pour s’en prémunir.
Je cite l'auteur : Les outils de réseau contenant notamment la commande ifconfig, netstat, route et arp sont dépréciés.
Il est conseillé d'utiliser maintenant la commande ip qui fait tout et qui est universelle sur toutes les distributions Linux.
Il propose une table de correspondance entre anciennes options et nouvelle commande
Tout est dans le titre
Les astuces en question :
- Liste d’arguments trop longue
- Filtrer la sortie d’un tail -f
- Vérifier tous les certificats de vos sites
- Purger le cache ARP
- Répertoire partagé VirtualBox
- Purger uniquement certains éléments de la file de mail en attente
- Ne pas vérifier la signature SSH d’un serveur
- Faire le ménage dans le fichier hosts d’Ansible
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